26/04/2013

Petite perle dénichée récemment: les sandales & Other Stories




Sandales & Other Stories, 55 €. 

Vous ne connaissez pas encore cette adresse shopping ? & Other Stories, la nouvelle marque lancée par H&M dont la première boutique parisienne vient de s’installer au 277 rue Saint-honoré.

Un Espace immense sur deux étages style industriel, orchestré autour d’une cour intérieure verdoyante où l’on peut dénicher aussi bien des pièces de prêt-à-porter que des accessoires underground et des chaussures créatives.

Pour preuve :


Sandales & Other Stories, 55 €. 

Une belle alternative au Zara habituel…Car les prix sont abordables et la qualité très convenable. Petit conseil: les chaussures! C'est le must de la marque. 


& Other Stories, planche d'inspiration



24/04/2013

Vite un look : silhouette bleue indigo


Après un hiver 2012 au vestiaire grisonnant, ponctué d’intempéries en tout genre et de températures hostiles persistantes, voici un ensemble bleu ultra lumineux, version aquatique et total look. 



De gauche à droite : bracelets The Cools 55 $, pull en cachemire J. Crew 240 € sur Net-à-Porter, sautoir Ellen Bleu en velours et laiton 75 € ancienne collection Anne Thomas, jeans Pragmatique Sandro 165 €, lunettes noires Zara 16,95 €, sac à bandoulière brodé Zara 79,95 € et chaussures à talons Zara 39,95 €. 

21/04/2013

Petit coup de cœur du moment

La collection Printemps-été 2013 d'Anne Thomas

Ah Anne Thomas... Ces manchettes graphiques, ses coloris acidulés savoureusement printanniers... voilà de quoi booster une tenue ultra basique avec juste une petite merveille au poignet...









http://www.annethomas-accessoires.com/

12/04/2013

Petite histoire de la cravate.

Rayée, unie, à pois, en tricot, en soie, version club ou slim : la cravate est peut-être, derrière son aspect formel et conformiste, l’apparat masculin le plus universel qui soit. Porté par des millions d’hommes, des écoliers indiens aux banquiers d’affaires de Londres, impossible de faire l’impasse sur ce bout de tissu passé autour du cou. Véritable symbole de l’élégance masculine ou accessoire guindé, retour sur l’histoire de ce foulard hautement traditionnel.

The Satorialist


A l’origine, la cravate n’était autre qu’un ruban de soie noué autour du cou par un régiment de hussards croates du 17ème siècle, enrôlés par Louis XIII. D’où la déformation du terme « croate » en « cravate ».  
Mais contrairement à ce que l’on lit la plus part du temps, la cravate serait bien plus ancienne et remonterait même en 247 avant J-C.

C’est en 1974 que des ouvriers chinois à la recherche d’une source, seraient tombés sur le tombeau du premier empereur chinois, Qin Shihuangdi, entourés de plusieurs milliers de soldats, 7500 précisément, fabriqués en terre cuite, tous parés d’un foulard noué autour du cou. 




A Rome également, on retrouve les traces de son ancêtre à travers les légionnaires romains qui portaient une sorte d’écharpe en laine ou en soie autour du cou, appelée focalium, pour se protéger du froid.


Cependant, la mode du port de la cravate en Europe semble bien débuter au 17ème siècle. La cour de France se met à délaisser les jabots de dentelle et autres fraises encombrantes, au profit d’une bande de tissu enroulée autour du cou et nouée sur le devant, laissant tomber les deux extrémités de part et d’autre. Cet attribut vestimentaire prend alors une valeur symbolique et sociale, certains s’en servent pour arborer leur statut et faire état de leur richesse, d’autres pour afficher leur tendance politique à l’aide de rubans de couleurs. 

Louis XIII

Ce « plastron » de soie, de lin ou de dentelle devient alors très populaire, en particulier chez les parisiens. 


Louis XIV et sa cour le font rayonner aux yeux de toute l’Europe, grâce à des cravates très coûteuses de plus en plus raffinées.  Le roi Soleil est à l’origine du métier de « cravatier », celui-ci devant choisir et ajuster la cravate du roi.

Louis XIV
Au XVIIIème, c’est au tour du « stock » de faire son apparition. Haut, rigide et encombrant, ce collier-foulard porté par les militaires de l’époque, réalisé à partir de crin de cheval et recouvert d’un tissu et d’une cravate, était extrêmement désagréable. A l’origine de nombreuses blessures et d’évanouissements parmi les soldats, il connaît de nombreuses variantes et évolue considérablement durant cette période. 

Mais c’est  George Bryan Brummel au XIXème en Angleterre, surnommé « The Beau », qui sublime le port du costume et celui du jabot. Il invente un nouveau style plus simple, composé d'un pantalon, d'un gilet et d'une veste ou d'une redingote, portés sur une chemise dont le col est agrémenté d'une cravate. Tandis que les français ne jurent que par les foulards très bouffants à la Garat, Brummel sublime les cravates blanches aux nœuds complexes et aux tissus précieux.  

George Brummel
Une mode qui, après avoir connu un succès fulgurant en Angleterre, s’exporte outre-manche et dans toute l’                Europe.

A partir des années 1900, la femme se met elle aussi à porter l’ornement masculin. La cravate devient la Régate ou l’Ascot et ressemble de près à celle que nous connaissons aujourd’hui : une longue bande d’étoffe nouée autour du col de la chemise. En 1924, un cravatier new-yorkais du nom de Jesse Langsdorf, eu l’idée brillante de couper la cravate en diagonale et de l’assembler en trois parties pour en simplifier l’usage et la rendre plus solide. 

Aujourd’hui la cravate est un accessoire usuel du vestiaire masculin. Son usage reste néanmoins cantonné au costume de l’habit professionnel ou cérémoniel. Certains considèrent cet ornement comme quelque chose d’inutile et d’inconfortable, d’autres comme le symbole d’une tradition élégante et d’un conformisme inéluctable.

The Satorialist

Elle a finalement peu évoluée ces dernières années en matière de forme et de coupe, si ce n’est sa largeur qui s’est légèrement réduite, pour donner la cravate « slim » (moins de 8 cm). Il existe deux procédés de montages : l’assemblage et le sept plis. Ce dernier privilégie une réalisation sans coutures à l’aide d’un pliage de 7 rabats aux extrémités de la cravate.







10/04/2013

J'ai testé : la coiffure en 15 min et 15 euros!

Se faire coiffer en un temps record? C'est la promesse de 365c, une équipe de professionnels capables de vous sublimer en 15 minutes chrono. Exit donc les salons guindés et les prix volumineux, la mise en beauté se fait en corner (Le Bon Marché) ou dans les enseignes de beauté (Beautymonop), pour seulement 15 euros!
Samedi, à l'occasion d'un évènement particulier, j'ai décidé de tester ce concept novateur.
Sur simple rendez-vous par mail, j'ai bénéficié d'une coiffure ultra sophistiquée, choisie parmi leur collection pointue.

Voici quelques exemples:




Et voilà le résultat:




L'enseigne propose ainsi plusieurs formules :

- 15 € pour une coiffure incontournable
- 25 € pour une coiffure avant-gardiste
- 20 € pour une mise en forme (effet lisse, bouclé, ondulé)
- 10 € pour un recoiffage minute

 Il existe également une version "mariage" avec 2 essais durant 45 min pour 69 €, ou 3 essais durant une heure pour 94 €.

Retrouvez toutes les informations sur le site de 365c.fr